Nous poursuivons notre découverte de Gran Canaria et partons pour Teror, à une vingtaine de km de Las Palmas.
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Nous arrivons d'abord à Arucas et allons visiter le Jardin de la Marquesa.
Le premier marquis d'Arucas et son épouse ordonnèrent la création, vers 1880, d'un vaste jardin romantique connu sous le nom de Jardin de la Marquise. Ils ne pouvaient pas avoir choisi de meilleur endroit, puisque la protection de la montagne d'Arucas et la proximité de la côte créent un microclimat qui permet actuellement la croissance très rapide de plus de 2 500 plantes appartenant à environ 400 espèces tropicales et subtropicales. Le marquis, passionné de botanique, sut réunir la flore des cinq continents dans ce jardin de cinq hectares au tracé irrégulier dans lequel se distinguent de remarquables spécimens d'arbres, comme le superbe dragonnier des Canaries, l'arbre le plus emblématique du jardin, que l'on estime vieux de 400 ou 500 ans. Spain.info
Après cette charmante balade, nous nous dirigeons vers Terror, une des plus anciennes villes des sept îles des Canaries.
Fondée dès l'apparition de la Vierge en 1481, et déclarée ville mariale à la fin du 16° siècle, Terror possède un riche patrimoine religieux avec une basilique, des couvents et des maisons familiales nobles. La rue Réal de la Plaza est l'épicentre social et commercial de cette commune depuis cinq siècles.
Lieu de pèlerinage par excellence depuis plus de cinq siècles, car Terror accueille la Basilique de la Virgen del Pino, Patronne du Diocèse des Canaries et référent religieux de plusieurs générations de canariens. Sa construction date de 1767 et sa façade est composée de trois portes et deux entrées latérales. L’icône de la Vierge del Pino est la pièce de plus grande valeur de la Basilique de Teror, non seulement pour son sens, mais aussi pour son ancienneté (la tradition indique que sa découverte eut lieu le 8 septembre 1481).
À l’extérieur de la Basilique on peut admirer la Tour du Clocher, connue sous le nom de « Torre Amarilla » (Tour Jaune). Inaugurée en 1708, il s’agit d’un des rares éléments architecturaux que l’on conserve du bâtiment précédent.
Considéré comme un des villages les plus beaux de l’île, nous arpentons son centre historique aux rues pavées. Une large place, donnant accès à l’entrée de la Basilique, est un des espaces essentiels du centre historique, le tout avec beaucoup de charme.
La Calle Real est l’avenue principale, une rue pavée avec de remarquables maisons dont l’élément commun est la présence des typiques balcons canariens.
Le Palais Épiscopal où les prélats du Diocèse vivaient est aujourd’hui transformé en maison de la culture où sont présentées des expositions temporaires.
Une belle petite ville coup de cœur.
Nous partageons avec nos amis un apéritif "Sangria et musique" sur le pont soleil pour le départ de Las Palmas vers Fuerteventura.
....et Corazon.
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Aljon et Sophie sont en forme... |
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